• La nature m’a appris…

    Les longues branches fines du bouleau verruqueux se laissent porter par la danse du vent, dessinant d’harmonieuses arabesques sur le ciel azuréen. Une gigue légère emporte ses feuilles dans une virevolte argentée. Profondément ancré dans la terre, le géant se laisse bercer avec souplesse dans le courant de la vie.

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  • Commentaires

    1
    Lundi 9 Mai 2016 à 23:05

    J'aime les sonorités et les choix d'adjectifs qui émaillent ce court poème.

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    2
    Lundi 9 Mai 2016 à 23:08

    j'ai été bercée par tes mots, je visualise l'arbre qui se balance doucement au gré du vent...

      • Jeudi 12 Mai 2016 à 18:07

        Il est dans le jardin d'à côté qui surplombe le mien. En automne par grand vent,  ses longues branches fines se détachent chez moi. Le bouleau m'apporte ainsi à domicile une partie de mon petit bois pour l'hiver. Au printemps quand ses feuilles commencent à poindre, c'est un régal de finesse. On peut prendre ses feuilles en tisane, mais je ne sais plus pour quelle indication.

        Bonne fin d'après-midi à toi.

        Bise.

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